Rencontre HGC – Le 14 juin dernier, la HGC a convié les entreprises partenaires de tout le pays à une journée de rencontre. Organisée simultanément dans quatre villes suisses, elle proposait à chaque fois un programme unique. Nous étions à l’EPFL pour l’occasion.
Créée en 1899, la HGC s’est rapidement alliée à la Société Suisse des Entrepreneurs et confirme aujourd’hui encore sa position de partenaire privilégié des entrepreneurs de la construction. Organisée en coopérative, la HGC dispose d’un assortiment complet pour tous les secteurs de la construction. Le caractère équitable, la fiabilité et la logistique exceptionnelle du groupe sont autant d’atouts importants pour les professionnels.
Pour la deuxième année consécutive, la HGC a organisé une journée de rencontre des partenaires le 14 juin dernier à Schlieren, Berne, Saint-Gall et Ecublens.
Les Romands étaient réunis à l’EPFL. Alizée Liechti a animé la rencontre avec le talent qu’on lui connaît et Martin Tobler, CEO de la HGC, a souhaité la bienvenue aux quelque 200 personnes présentes.
La snowbordeuse freeride, base-jumpeuse et pilote de wingsuit Géraldine Fasnacht a scotché l’assistance avec la présentation de quelques-unes de ses expéditions. Oser rêver, voir grand, tout en gardant une parfaite maîtrise technique a résonné tel un mantra.
ET LA RELÈVE ?
La table ronde a réuni Nils Rentsch, directeur général de Perrin Frères et vice-président de la FVE, David Valterio, directeur de la FFE, Michael Zoppas, directeur HGC région Ouest et Fabrice Dupasquier, membre du conseil d’administration et directeur des ventes de la HGC. Les thèmes liés aux métiers du bâtiment et à la relève dans le secteur de la construction ont capté l’attention de l’assistance.
Comment rendre le recrutement des appren- tis plus attractif? Par quel moyen assouplir la formation dans la construction? Alors que le secteur a perdu 20% d’apprentis ces dernières années, ces questions sont plus actuelles que jamais.
La forte incitation politique et sociale pous- sant les jeunes vers le gymnase est peu à peu en train de faiblir. Si quelques écoles ouvrent désormais leurs portes aux représentants du bâtiment afin de faire naître les vocations, beaucoup sont encore réticentes. L’apprentissage dans la construction doit être mieux vendu mais aussi adapté aux attentes de la jeune génération. La flexibilité des horaires, l’usage des nouvelles technologies ou des possibilités d’échanges linguistiques doivent être mises en place avec force.
La communication est également insuffisante quant aux possibilités d’évolution et à la formation continue qui peut permettre à un jeune d’occuper rapidement des postes à responsabilité et d’agir concrètement en faveur de la transition énergétique, ainsi que de la protection du climat.
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